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Les français aiment investir dans l'immobilier
Publié par Loi Malraux le 18 juillet 2017
L’investissement immobilier est prisé par les contribuables français. Selon le sondage réalisé Par Opinionway pour Atland, l’immobilier physique figure à égalité avec l’assurance-vie (34 %) dans les placements préférés des français pour faire fructifier leur épargne.
A ces 34 %, si on ajoute les PEL (18 %) et les sociétés civiles de placement immobilier (SCPI) on arrive à on arrive à un total de 60 % des français préférant investir dans l’immobilier.
L’investissement en pierre est donc loin devant le livret A (17 %) et le portefeuille d’actions en Bourse (13%).
Pourquoi l’immobilier ?
L’investissement immobilier offre plusieurs avantages. En effet, les français voient en l’immobilier un côté sécurisant, de plus, ils ont la possibilité d’investir à crédit et de profiter des taux qui restent très bas.
En investissant dans l’immobilier, les ¾ des français espèrent un rendement locatif intéressant. C’est loin devant le souhait de réaliser une plus-value à la revente (22 %). Beaucoup de contribuables cherchent un revenu additionnel pérenne, c’est ce que propose l’immobilier.
C’est en Ile-de-France que l’intérêt de réaliser une belle plus-value immobilière à la revente est la plus forte (28 %), contre 21 % des habitants en province.
Les freins à l’investissement immobilier
Selon l’étude, l’immobilier a néanmoins des inconvénients qui dissuadent les français de s’engager sur le long terme. Ainsi, 18 % des sondés redoutent les travaux à réaliser, et 24 % l’endettement qu’implique un tel investissement.
De plus, ils craignent souvent des charges et impôts fonciers trop importants (30 %) et les potentiels locataires mauvais payeurs (46 %).
Quel type de bien immobilier acquérir?
Les contribuables disposant d’un budget de 300 000 € choisissent à 44 % d’investir dans les biens situés en région francilienne (20 % à Paris Intra-Muros et 24 % en première et deuxième couronne).
Le choix des contribuables se porterait en priorité sur les petites surfaces : 2 pièces (37 %), studio dans une ville étudiante (27 %) ou encore parking/box fermé (25 %).
Pour les contribuables les plus fortement imposés disposant d’un budget plus important, investir dans un bien immobilier d'exception à restaurer peut s'avérer très intéressant.
En effet, en achetant des biens anciens à restaurer, certains dispositifs fiscaux peuvent s’avérer très avantageux comme le déficit foncier ou la Loi Malraux. Ce sont les travaux de restauration et de rénovation qui ouvrent le droit à la réduction d’impôt.
Pour en savoir en savoir plus sur ces dispositifs, trouver des programmes Malraux ou déficit foncier, recevoir des conseils et un suivi personnalisé, contactez un conseiller, expert de l’immobilier ancien restauré.
Source : LesEchos.fr
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